mercredi 2 août 2023

« L'enfant qui sait se pencher sur l'animal souffrant
saura un jour tendre la main à son frère. »

Charles Burton Barber (1845 - 1894) - "La leçon de lecture"

Recommended reading: Men with haplogroup I of Y chromosome have 50% greater risk of developing heart disease



Sources:

Recommandation de lecture: L'Expert dit que l'Homéopathie est « moralement inacceptable »

Un expert en matière de bioéthique de l'Université d'Abertay Dundee a dénoncé le financement public de l'homéopathie à la fois où le budget de la santé de l'Ecosse est sous la pression sans précédent.  Parlant dans le tourillon estimé « Bioéthique », M. Kevin Smith dit que l'Homéopathie est « moralement inacceptable » et devrait « être activement rejetée » par des fournisseurs de santé et d'éducation.


En Dépit de la critique lourde du corps médical comprenant l'Association Médicale Britannique, les traitements homéopathiques continuent à être disponibles sur les NHS.  L'année dernière un programme de BBC, « Magie ou Médicament - Homéopathie et les NHS » a enregistré que les NHS en Ecosse ont dépensé autour de £1.5m par an sur l'homéopathie - presque un tiers du £4m prévu dépensé tous les ans au R-U.  Des Généralistes Écossais se sont avérés prescrire 10 fois autant de médicament homéopathique selon le patient en tant que leurs homologues Anglaises.

M. Smith a dit que « Les NHS en Ecosse dépensent bien plus par personne sur des traitements homéopathiques que dans le reste du R-U et maintenant en particulier, en quelques périodes où des financements sont étirés au point d'arrêt et le financement pour des services indispensables est en danger, c'est incroyable. »

M. Smith argue du fait que de plus gaspillant les moyens précieux, le financement de gouvernement donne la crédibilité à l'homéopathie, qui met des patients en danger.  Le « financement de NHS pour l'homéopathie la légitime et suggère une base scientifique, le risque est alors que les gens éviteront le médicament pertinent, potentiellement dommageable leur santé. Le même s'applique aux fournisseurs d'éducation organisant des cours d'homéopathie. » il a dit.

Les Défenseurs de l'homéopathie arguent du fait que si le patient ressent un placebo effectuer alors il reste avantage au patient.  M. Smith réfute ce dire « Si l'effet de placebo est la seule forme de l'avantage, alors vous mentez effectivement au patient et allez à l'encontre un principe de noyau de l'éthique médicale - cette les patients doivent avoir toutes les informations disponibles pour donner entièrement le consentement éclairé. »

L'article de M. Smith vient pendant que la hache continue à s'arrêter au-dessus du seul hôpital homéopathique de l'Ecosse - Hôpital Homéopathique de Glasgow.  Le Futur financement n'a pas été confirmé et la Montagne de NHS a déjà annoncé que ce ne sera plus des services de la Commission de l'installation.

La « Homéopathie est tout à fait invraisemblable. Des préparations Homéopathiques sont tellement complètement diluées qu'elles ne contiennent aucune quantité importante d'ingrédients actifs, et peuvent n'exercer ainsi aucun effet sur le fuselage du patient. Ainsi il est à peine prévisible que, en dépit d'un grand nombre d'études ayant été conduites, là ne soit aucune preuve d'une façon convaincante de supporter des revendications d'efficacité pour l'homéopathie. Ceux qui croient que cela fonctionne ne comprennent pas la science, ou sont simplement trompés. Il est important de se rendre compte que l'homéopathie n'est pas moralement point mort ; il est inutile et potentiellement dangereux, et est en conflit avec des principes éthiques principaux. J'argue du fait que ceux concernés de la santé ont un devoir moral pour prendre une orientation active contre l'homéopathie. Par exemple, ceux responsables du financement de santé devraient agir de s'assurer que des moyens de l'alerte NHS ne sont pas affectés à l'Hôpital Homéopathique de Glasgow. En Effet, la fermeture de cette installation serait bienvenue pour les raisons éthiques. »

Portrait d'un enfant


Le Pied-Bot de Jusepe de Ribera

Texte de Franck Fitoussi et Olivier Meslay.

C'est par un simple courrier que cette collaboration a commencé. Il y a un an environ, le docteur Franck Fitoussi, chirurgien orthopédiste à l'hôpital Robert-Debré à Paris, envoyait au département des Peintures Musée du Louvre une lettre faisant part de ses remarques sur la nature de l'infirmité dont souffrait l'enfant dans le fameux tableau de Ribera appelé Le Pied-Bot.
L'analyse médicale était si claire et les conclusions si évidentes que des conversations s'établirent immédiatement et qu'une publication de ces recherches parut nécessaire et souhaitable. La formule du tableau du mois semblait dès lors la plus appropriée à l'information du public.

Le Pied-bot, une appellation récente
Avant de laisser le docteur Franck Fitoussi expliquer la nature exacte de cette infirmité, il faut rappeler rapidement l'histoire de ce tableau et de son titre.
En fait, ce titre de Pied-Bot, fautif désormais, n'apparaît qu'en 1870 sous la plume de François Reiset dans sa Notice des tableaux légués au Musée Impérial du Louvre par M. Louis Lacaze. Dans la collection du docteur Louis Lacaze, celui-ci le citait comme Le Nain, un des plus beaux tableaux de Ribera. Dans l'inventaire après décès réalisé par l'expert Féral en 1869, l’oeuvre était décrite comme Le Nain, portrait d'un jeune mendiant.
On le voit, jamais le titre de Pied-Bot n'avait été employé jusqu'à l'entrée du tableau au Louvre. Si le titre s'est installé dans l'esprit du public et des historiens d'art, c'est parce que l’oeuvre prit rapidement place parmi les images les plus célèbres du musée du Louvre. Son auteur, Jusepe de Ribera, peintre espagnol établi à Naples, la réalisa vers 1642, peut-être pour le marchand flamand Ferdinand Vandeneynden dont la fille Giovanna épousa le prince Colonna di Galatro, devenu plus tard prince de Stigliano. Au début du XIXe siècle, le tableau est passé probablement directement de la collection Stigliano à la collection Lacaze.
Outre ses qualités picturales indéniables, l’oeuvre témoigne du goût qui se développa au début du XVIIe siècle, sous l'influence du Caravage, pour les sujets populaires. L'influence du picaresque espagnol, mais aussi de la peinture hollandaise, ne devait qu'accentuer le goût des amateurs pour les représentations d'enfants des rues, comme d'infirmes ou de disgraciés.
Ribera devait lui-même multiplier les figures de ce type, soit des mendiants, soit des pathologies rares comme dans le Portrait de Maddalena Ventura (1631, Tolède, Fondation duc de Lerma).
Si le portrait qui nous occupe aujourd'hui n'est pas celui d'un enfant atteint d'une affection très rare, on peut néanmoins être assuré que Ribera a attentivement, comme à son habitude, regardé l'enfant qu'il avait sous les yeux. Les symptômes qu'il peint sont suffisamment bien rendus pour qu'un chirurgien du XXIe siècle puisse rendre des conclusions sans appel.

Un titre compréhensible en 1870
Nous avons vu que ce n'est qu'en entrant au Louvre que l’oeuvre de Ribera reçut son titre actuel. à cette époque, la notion d'infirmité motrice cérébrale n'était pas connue du monde médical. Toute déformation du pied était alors étiquetée «pied bot», anomalie bien connue depuis l'antiquité (Hippocrate en a décrit le premier traitement).
C'est, en effet, en 1861 qu'un chirurgien orthopédiste anglais, le Dr William John Little, publia un article décrivant les déformations orthopédiques d'un enfant infirme moteur cérébral en démontrant que son origine était liée à une lésion du cerveau. Cette lésion était alors interprétée comme une séquelle d'un accouchement difficile.

Une hémiplégie et non un pied bot
Lorsque l'on observe attentivement cette peinture, il paraît évident à tout clinicien pratiquant l'orthopédie infantile que cet enfant ne présente pas un pied bot mais souffre d'une hémiplégie droite en rapport avec une infirmité motrice liée à une lésion du cerveau.
On peut appuyer cette affirmation sur plusieurs indices :

Premier indice. Le pied bot est une anomalie congénitale, c'est-à-dire présente à la naissance, associant des déformations du pied dans les trois plans de l'espace. Dans cette anomalie, l'avant du pied rentre fortement en dedans avec un mouvement de rotation interne de l'ensemble du pied entraînant la plante. Cette dernière ne se pose plus sur le sol. L'arrière du pied est quant à lui rétracté, entraînant le talon vers le haut.
Or, sur le tableau de Ribera, l'enfant présente un simple équin (il ne peut se tenir que sur la pointe) avec un avant pied normalement axé, anomalie qui se rencontre souvent dans les hémiplégies infantiles.

Deuxième indice. L'infirmité motrice cérébrale avec hémiplégie est liée à une lésion du cerveau. Généralement, il s'agit d'un manque d'oxygène qui se produit lors d'un accouchement difficile, ce qui devait être souvent le cas au XVIIe siècle. Cela se manifeste alors par une atteinte de la moitié du corps, en général le côté opposé à la lésion cérébrale. Lorsqu'on observe attentivement le tableau de Ribera, on constate que la position du poignet et des doigts à droite est tout à fait inhabituelle. Le poignet est en forte flexion et les doigts semblent recroquevillés, ce qui ne correspond pas à la façon habituelle de tenir un chapeau. La présence d'une déformation du pied et de la main du même côté est ainsi extrêmement évocatrice d'une hémiplégie.

Troisième indice. Les enfants présentant une hémiplégie ont souvent une faiblesse de l'ensemble du membre inférieur atteint, avec notamment une rétraction de certains muscles de la hanche et du genou. Ceci nécessite dans certains cas le port d'une canne-béquille, comme l'enfant peint par Ribera. En revanche, les enfants présentant un pied bot n'ont généralement pas de déficit des autres muscles en dehors du pied et n'ont donc pas besoin d'une canne pour marcher.

Quatrième indice. Si l'on considère que cet enfant présente une hémiplégie droite, celle-ci est en rapport avec une lésion du cerveau gauche. Or, le centre du langage se trouve à gauche. Si de nombreux mendiants devaient à l'époque présenter un permis de mendier comme sur ce tableau, il est vraisemblable que cet enfant ne pouvait pas s'exprimer correctement et était obligé de montrer une feuille de papier sur laquelle est écrit en latin «donne-moi l'aumône pour l'amour de Dieu». Les enfants atteints de pied bot n'ont pas de troubles du langage.

Cinquième indice. La plupart des observateurs qualifient l'enfant peint par Ribera «d'étrange et misérable infirme», «son sourire ajoute encore à la cruauté du portrait», «tant de difformités et de douleurs», etc. Tous ces qualificatifs montrent bien l'impression de handicap mental qui ressort du tableau, handicap qui n'est généralement pas retrouvé lorsqu'on observe un enfant présentant un simple pied bot. L'atteinte d'une partie du cerveau, outre l'atteinte motrice d'un hémicorps, peut entraîner des troubles des fonctions supérieures élaborées, de la cognition et du langage entraînant un retard des acquisitions, voir un réel retard mental. Ceci peut expliquer l'impression globale qui se dégage de ce tableau.
Au vue de cette analyse, et considérant que ce tableau n'a reçu son appellation Le Pied-Bot que tardivement, on pourrait rendre hommage au savoir médical en établissant cette fois un bon diagnostic et en renommant cette oeuvre L'Enfant hémiplégique de Ribera.
Le public et le temps en décideront.

Recommandation de lecture: "Une vie active saine pour les enfants et les adolescents"

Le résumé de l'article scientifique:
De mauvais modes de vie, comme une alimentation malsaine et l’inactivité physique, sont d'importants facteurs contributifs à une augmentation de la morbidité et de la mortalité secondaires à des maladies chroniques à l’âge adulte. Depuis dix ans, on remarque une augmentation du mode de vie sédentaire et de l’obésité chez les enfants et les adolescents, tant en Amérique du Nord qu’ailleurs dans le monde. Les médecins doivent être conscients de l’importance du problème, fournir des conseils de prévention aux familles et promouvoir une vie active saine dans leur pratique.
Source: https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2795629/ (The National Center for Biotechnology Information)
Droit d'auteur ©2002 Société canadienne de pédiatrie. Tous droits réservés

Recommandation de lecture: Les traitements du pied bot varus équin



Le site (https://www.soignerunpiedbot.com/) a été réalisé par le Pr CHOTEL F. - Hôpital Femme-Mère-Enfant, Service d'Orthopédie Pédiatrique, 59 boulevard Pinel, BRON et le Dr PAROT R. - Chirurgien pédiatre, Clinique du Val d'Ouest-Vendôme - LYON Ecully


La petite fille au pied bot

Tout près de l’écurie
Une petite fille
Au pied bot
A caché dans un pot
Une clé
Deux pierres blanches
Et un couteau rouillé
Puis elle est sortie
A refermé derrière elle la grille
De la ferme
Et comme c’était dimanche
S’est rendue à la messe
Qui venait de commencer

L’église débordait
De senteurs d’encens
Et d’âcres fragrances
Paysannes entremêlées.

Jacques Herman (né à Tirlemont le 11 mai 1948)

Recommandation de lecture: Suis-je suffisamment malheureux pour que le risque de l'intervention chirurgicale devienne justifié ?

Soumis à des contraintes sociales croissantes, qui leur font exigence de se maintenir en " bon état de marche ", les patients sont très assurés — sinon bien informés — de ce qu'ils demandent au chirurgien, mais ils ont perdu le fatalisme d'antan face aux complications de nature infectieuse ou autre de l'opération.

Une décision chirurgicale ne peut pas se prendre sous la couverture imaginaire du mythe sécuritaire (100% succès de l'intervention chirurgicale); pourtant, nous savons bien que les risques afférents - s'ils ont spectaculairement diminué, demeurent.

Notre culture véhicule une vision majoritairement " mécanicienne " du corps. Dans une telle vision, pas de no man's land entre le normal et le pathologique : cela " marche ou ne marche pas ". À partir donc du moment où s'annonce une dégradation, la suite est inéluctable, sauf intervention restauratrice qu'il n'est, dans ce contexte, jamais rationnel de retarder. Georges Canguilhem a pourtant bien montré l'importance de cette large zone intermédiaire où se joue la capacité du biologique de faire face au pathologique et la rationalité médicale a bien compris que cette considération, loin d'être abstraite, était au centre d'elle-même.

Si un patient peut toujours " échapper " à la prescription de son médecin, son rapport avec le chirurgien est marqué par le caractère irréversible de l'intervention. La perspective d'une atteinte à l'intégrité corporelle situe ce rapport sur un horizon de violence qui ne doit jamais être perdu de vue, même si la spécialité exercée par le praticien lui confère à chaque fois une tonalité particulière. Il n'est pas tenu le même langage dans un centre anticancéreux que dans une clinique de chirurgie esthétique mais la hantise de l'irréversible n'en est pas moins toujours présente.

C'est-à-dire que dans la grande majorité des cas il doit se donner du temps pour faire avec le patient le tour du problème. " Qu'est ce que je risque si j'attends ? " Cette question légitime lui est très souvent renvoyée. Un raisonnement mécanicien part du principe qu'il vaut mieux réparer sans tarder car le résultat de l'intervention sera d'autant plus favorable que les lésions seront plus limitées. À l'inverse, donner les éléments sur l'évolution prévisible et affirmer que c'est la douleur qui est l'élément majeur de la décision change la donne : le patient a en main l'élément clé. À lui de se poser et de poser les bonnes questions: Ai-je réellement besoin de me faire opérer ? Le risque mérite-t-il d'être couru ? Quand faut-il le faire (au regard de mes obligations professionnelles et familiales) ? Parvenir à ces questions pertinentes demande du temps et justifie de suggérer une nouvelle consultation à seule fin de laisser au patient le temps de la maturation nécessaire.

La seule question qui se pose in fine au chirurgien est donc : " ai-je réellement réussi à persuader mon patient qu'il y avait un risque à prendre et qu'il le prendra en connaissance de cause ? ", c'est-à-dire après avoir répondu positivement à la question " suis-je suffisamment malheureux pour que le risque de l'intervention devienne justifié ? ". Parler risques revient à dire " les risques, c'est vous qui les prenez, mon travail à moi est de les limiter au maximum, mais 100 % de succès cela n'existe pas. " Il faut, pour que cela soit clair, avoir constamment veillé à faire entendre que l'on n'avait " rien à vendre " et à laisser le temps voulu à la réflexion.

Extraits de l'article: "Le principe de la décision opératoire en chirurgie orthopédique". Ce texte est le fruit de la relecture d'une pratique professionnelle de chirurgien orthopédiste exercée depuis 20 ans au sein d'un hôpital universitaire. Auteur : Olivier Gagey, Service d’orthopédie et traumatologie, CHU Bicêtre, AP-HP, Département de recherche en éthique Paris-Sud 11 / AP-HP. Publié le : 17 juin 2003.

"Une chirurgie dont il est exigé qu’elle s’active à améliorer à tout prix la qualité de vie par des réparations fonctionnelles de plus en plus hardies, et surtout par la suppression de la douleur, ne peut pas ne pas connaître la tentation d’une régression à un modèle mécanique du corps."

Sources:

mardi 1 août 2023

Docteur Daniela Ciotlos: médecin accrédité.
Spécialité: Chirurgie orthopédique et traumatologie.
Établissements d'exercice:
Centre Hospitalier de Valenciennes (114 Avenue Desandrouin, 59300 Valenciennes)
Centre Hospitalier de Maubeuge (Rue Simone Veil, 59600 Maubeuge)

Langues parlées: Français, Anglais, Allemand et Roumain

Après un an de stage, elle est devenue résident en chirurgie et orthopédie pédiatrique à l'Hôpital « Grigore Alexandrescu » de Bucarest.
En 1995, elle est devenue médecin spécialiste et en 2000 - médecin agrégé.
En 2010, Dr. Ciotlos a complété une formation dans la seconde spécialité: la chirurgie plastique et microchirurgie reconstructive, étant spécialisée dans le traitement des malformations faciales infantiles (fente labiale).
Au cours de sa formation professionnelle, Dr. Ciotlos a reçu une bourse d'études à l'Hôpital « Necker-Enfants Malades » de Paris (1998-1999), ayant la chance de travailler avec les spécialistes de l'Institut Français pour la Chirurgie de la Main. Elle a obtenu un diplôme de spécialisation en chirurgie de la main.
Les cours de spécialisation ou des programmes "visiting doctor" de la France, l'Allemagne, la Suède et l'Angleterre ont été aussi des chances supplementaires à augmenter sa compétence professionnelle.
Dr. Ciotlos possède une expérience considérable dans le traitement du pied bot varus équin (plus de 50 cas par an), en utilisant la méthode Ponseti.

* Charles d'Avila (en roumain Carol Davila, à sa naissance Carlo Antonio Francesco d'Avila), né en 1828 à Parme (Italie) et mort le 24 août 1884 à Bucarest (Roumanie) était un pharmacien et médecin italo-français devenu roumain en 1868, fondateur de la faculté de médecine de Bucarest.

Œuvres et / ou articles scientifiques:
Journeau P, Ciotlos D. Place de l'embrochage centro-médullaire et de l'injection de corticoïdes dans le traitement des kystes osseux essentiels de l'enfant. Rev Chir Orthop 2003 ; 89 : 333-7.

SOFOP / AOTP

ACTUALITES...


Facebook...